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The Voice Afrique Francophone : Janelli croit, « Un deuxième titre pour la RDC, c’est possible »

L’unique candidate de la RDC au concours musical The Voice Afrique Francophone, la jeune chanteuse Janelli, qui a accordé une interview à arts.cd, compte, elle aussi, remporter le titre comme sa compatriote Pamela Baketana (congolaise et gagnante de la 1ère édition).

Qui est Janeli ?

Je suis une artiste chanteuse qui évolue en carrière solo, et prépare son single. En même temps Janelli est en compétition au The Voice Francophone qui est déjà en diffusion sur nos écrans et je suis restée la seule congolaise. Janelli, c’est aussi une chorégraphe, animatrice et maitresse de cérémonie. Pour dire simple, je suis une artiste complète.

Racontez-nous votre histoire avec la musique ?

Je commençais ma musique depuis toute petite à l’âge de 12ans. Je chantais à l’église dans des chorales. A partir de 18 ans, j’avais fait mon premier clip dans un petit studio à Kinshasa. Je suis une artiste de Kinshasa mais j’étais sortie pour aller évoluer en Afrique du sud, dans le cadre du concours musical The Voice Francophone.

Qu’elle était la magie pour rester l’unique congolaise au The Voice Francophone ?

(rire…)  Ce n’est pas de la magie. J’ai beaucoup bossé comme une folle. J’ai compris ce que les coachs cherchaient. The Voice, c’est la voix. J’ai donné tout ce que je pouvais et mon Dieu m’a aidé. Voilà, je suis là, seule, entouré de plusieurs pays.

Ma particularité est que je sais toucher l’âme. Je chante avec mon cœur. C’est un peu ça ma spécialité.

Est-ce que la RDC peut compter sur vous ?

Oui, la RDC peut compter sur moi. Il faut que je ramène le titre dans mon pays car la République démocratique du Congo est la base de la musique africaine. Donc, je vais me battre, me donner à fond et ça sera aux congolais de me pousser pour aller jusqu’au bout. A cette étape seule ma voix ne compte pas, c’est aussi au peuple congolais de pouvoir m’aider avec leurs votes. Au moment du précis, je leur communiquerai le numéro qu’il faut pour des votes. Je peux bien chanter, sans vote, c’est un coup d’épée dans l’eau.

Sarah Bukasa

 

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